Partenaire du festival les mauvais gones
Le Festival Les Mauvais Gones est avant tout une histoire humaine, de passion et de challenges. Arnaud Thomas rate la sortie en 1996 du film Casino de Martin Scorsese. Promis, il le projettera un jour sur écran géant. Pour cela il a créé en 2017 le Festival Les Mauvais Gones.
Chaque soirée est rythmée par des animations afin de faire vivre le film et sa thématique en dehors de la salle de cinéma. Une réelle expérience immersive dans les salles obscures et qui se poursuit le long de la soirée.
Les Mauvais Gones proposent aux spectateurs une séance de cinéma améliorée afin de revoir sur écran géant des films qui ont parfois marqué une génération. De la trilogie des «Parrains» de Coppola jusqu’à «The Town» de Ben Affleck en passant par «Il était une fois en Amérique» de Sergio Leone, Les Mauvais Gones revisitent l’univers des Gangsters et implantent leur événement à Lyon pour la cinquième édition.
Chaque soirée sera l’occasion de découvrir un film majeur du genre, les projections seront comme de coutume précédées d’animations, de conférences d’experts, d’interventions de réalisateurs et acteurs. À ce jour le festival Les Mauvais Gones c’est six éditions aussi riches les unes que les autres, qui ont rassemblé plus de 3 000 spectateurs au total.
Le Lyon Gangster Festival s’inscrit pour perdurer comme un des événements phare du cinéma lyonnais. Et soufflera sa sixième bougie, et pourquoi pas annoncera une belle et longue aventure dans le cœur des lyonnais. Après une 5ème édition réussie, la 6ème édition du festival s’annonce pleine de surprises..
Chaque soirée sera l’occasion de découvrir un film majeur du genre, les projections seront comme de coutume précédées d’animations, de conférences d’experts, d’interventions de réalisateurs et acteurs.
On ne naît pas gangster, on le devient. Arnaud Thomas saura en témoigner. Après six années à promouvoir les méchants du 7e art, le Lyonnais a pris goût à les copier. À s’inspirer des meilleurs. Alors lorsque ce dernier pénètre dans son repère du Café des Jacobins, le public se tue et salue son entrée. Digne d’un parrain. D’un homme respecté, à l’image de son festival.